♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
♦ Statut : célibataire, ou fiancé, ou en couple ; il n'en sait rien, les longues périodes d'oubli ont eu raison de tout ça, il n'y pense pas, ou parfois, sans mettre de mot dessus. ses souvenirs s'égarent en direction d'une ombre qui devient de plus en plus ténue, qui a perdu son visage et n'a peut-être jamais eu de nom.
Sujet: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:30
elyon-y. léonard castellanos
✖ NOM(S): castellanos, il a oublié bien des choses, mais certainement pas son identité, qui était de toute manière affiché à l'hôpital où il s'est réveillé. il se souvient de n'avoir été qu'un numéro lorsqu'il n'était qu'un prisonnier, alors il s'accroche à son identité plus encore qu'auparavant à présent. ✖ PRÉNOM(S): elyon, léonard c'est ce qu'a affirmé l'hôpital où il s'est réveillé, encore une fois : une chance on peut dire, son identité aurait pu être perdu avec tout le reste, il a encore du mal à réagir à ce prénom qu'il trouve pour le moins particulier. il n'a aucune idée d'où il l'a hérité, bien qu'il se souvienne de ses parents. ✖ ÂGE: il a vingt-huit ans et pourtant sa vie pourrait plus ressembler à un genre de renaissance, il est assez étranger dans son existence tout autant que dans sa propre tête, et les prochaines années de son existence risquent d'être compliquées. en définitive, difficile de dire de combien d'années de sa vie il se souvient, et s'il retrouvera un jour toute sa tête. ✖ DISTRICT: sa naissance, c'était au capitol et bien qu'il ait souvent réussi à le quitter, il semblerait qu'il ne soit pas parvenu à son ultime mission : il a toujours été au capitol, c'est ici qu'il a été fait prisonnier et torturé. dans cette ville défigurée par la révolte, il ne s'y retrouve guère, et, aux informations qu'il parvient à obtenir sur ce qu'était le capitol dans un autre temps, il se demande comment il a pu s'accoutumer d'un tel style de vie. ✖ METIER: il a de vagues souvenirs de l'époque où il était juge pour les jeux et d'ailleurs, en se souvenant des règles de ceux-ci, il se demande à nouveau comment il a pu faire des choses pareilles. aujourd'hui, sa rédemption ne semble pas vouloir pointer, puisqu'il est presque incapable de s'occuper de lui-même : il gère donc une librairie avec plus ou moins de talent. ✖ SITUATION CIVILE: officiellement, dans sa tête et dans ses souvenirs, il est célibataire et n'a aucun souvenir d'une quelconque femme ayant fait chavirer son cœur dans sa vie : à croire que ça, ça a été la première chose arrachée à sa volonté. cependant, il semblerait qu'une rousse particulière ait décidé de jouer à la belle au bois dormant avec lui, dans un langoureux baiser de réveil suite à son long coma. non pas qu'il s'en plaigne, mais ça devait être assez particulier pour elle. ✖ GROUPE: the old gepettos est son groupe. ✖ COPYRIGHT: tumblr.
"peut-être est-ce une déformation de son "nouveau lui" ou une réaction à ses vieux souvenirs de torture incessante, mais elyon a pour réflexe de beaucoup parler : en somme, il lui arrive de faire des monologues, ou de longues phrases, si longues qu'il s'y perd parfois. en réalité, c'était un réflexe conditionné, notamment face à sa famille, ou encore lorsqu'il était juge aux jeux, et qu'il se contentait de combler en parlant de tout et n'importe quoi, voilà que ça ressort à présent. ◮ les souvenirs de sa vie, ils sont éparses, complexes et flous ; il fait souvent des cauchemars, que ce soit de ses tortures ou de sa vie passée. bien souvent, il ne parvient pas à mettre de mots sur ces visions totalement incompréhensibles, mais il ne cherche pas particulièrement d'aide, surtout parce qu'il n'a pas le sentiment d'être véritablement entouré pour surmonter ça. ◮ depuis un petit moment déjà, il s'acharne à prendre connaissance du monde dans lequel il vivait/évoluait, et le capitole le dégoûte au plus haut point une nouvelle fois : à croire qu'il n'a pas changé. le souci reste qu'il ne sait pas réellement pourquoi il a été torturé, et qu'il se questionne inlassablement sur sa place au capitole, ou sur sa condition de juge aux jeux. ◮ chose positive (ou presque), il s'est découvert un véritable talent pour comprendre toutes les théories, que ce soit des mathématiques ou de la science : les robots, les techniques modernes n'ont aucun secret pour lui : quelle ironie, quand on sait qu'il se connaît/comprend à peine lui-même parfois, à croire qu'il fonctionne plus facilement avec son cerveau gauche que le droit. ◮ lorsqu'il est nerveux, il passe sa main dans ses cheveux, ceux-là même qu'il trouve coiffés bizarrement depuis qu'il s'est arrangé pour se les faire couper : à l'hôpital, il a été rasé, mais visiblement, sa longue période de torture lui avait fait pousser la barbe et l'avait plutôt bien amaigri. tout ça a été effacé/comblé à l'hôpital, tant et si bien qu'il est visiblement comme avant. ◮ de l'endroit où il vivait, il ne reste plus grand chose, mais il a quand même réussi à rassembler quelques effets personnels, rien pourtant qui puisse montrer qu'il vivait là : la plupart de ses vêtements et de ses affaires importantes ont disparu, apparemment il préparait un sacré départ et parfois, quand il cherche en boucle, il lui arrive d'avoir une vague sensation de... d'il ne sait pas quoi. ◮ dans les affaires personnelles conservées par le capitole lors de sa capture, se trouve un pendentif relativement discret, mais luxueux à souhait : un des meilleurs du capitole, un art soigné et soigneux, quelque chose de réservé à quelqu'un de "spécial". c'est ainsi qu'il a découvert le prénom de sa mère esmée, qui était inscrit sur le pendentif : le fait qu'il l'ait, cependant, il ne parvient pas à l'expliquer. ◮ niveau nourriture, il redécouvre tout ce qu'il y a à découvrir : c'est bien la seule chose qu'il peut y avoir d'amusant dans le fait de ne plus avoir de mémoire. alors qu'il a passé énormément de temps à l'hôpital à avaler des mixtures bizarres et principalement des soupes pour "adapter son organisme" il redécouvre avec plaisir tous les mets qu'il y a à sa disposition encore : ainsi, il se découvre en train d'aimer quelques trucs, et d'en détester d'autres. il a encore pas mal de choses à découvrir, cependant. ◮ libraire qu'il est, il en profite généralement pour lire, beaucoup lire ; à travers ses lectures, d'ailleurs, il a commencé à se familiariser avec les districts, assez pour se familiariser avec ceux-ci, mais il aimerait surtout les parcourir, pour les (re)découvrir visiblement, puisqu'il semble que dans sa vie passée, il y ait déjà mis les pieds. ◮ il siffle assez souvent, c'est presque un tic, tout autant que hausser les épaules quand il ne sait pas quoi dire : d'ailleurs, pour lui ôter toute réponse de la bouche, il faut avoir un sacré répondant, puisqu'il est du genre à rebondir sur n'importe quel argument pour avoir le dernier mot : ça semble être un petit côté fier chez lui en définitive.
◮ Que pense ton personnage du nouveau gouvernement? C'est sur un nouveau monde qu'il a ouvert les yeux, une nouvelle génération d'existence, à la recherche de rédemption. En quelques sortes, fut un temps, c'était son rêve le plus fou, le plus secret, celui qui lui faisait garder la tête haute, les lèvres closes malgré les tortures qu'on lui imposait. C'était le monde qu'il pouvait idéaliser pour lui, et pour Quistis : un Panem débarrassé du Capitole, de la tyrannie de Snow et de ses jeux abusifs dans la vie desquels il ne prenait que trop part. Et pourtant, le destin est bien ironique, puisqu'il a décidé de lui ôter toute chance d'en profiter grandement : comment avoir une idée nette et constructive sur un monde qu'il découvre tout juste ? L'univers est déjà trop grand pour Elyon, alors que sa tête est vide, vide de sens et qu'il se découvre l'existence d'un tortionnaire, d'un habitant du capitole parmi tant d'autres. De ceux qui bâtissaient leur vie sur les jeux, sur les meurtres d'enfants, sur l'abus des oppressés. Difficile, de se découvrir une existence pareille, de telles mœurs et au combien il a combattu avec acharnement pour s'offrir un avenir quelconque, sa punition est celle de rester plongé dans le passé, de le rechercher inlassablement, au milieu de ses cauchemars incessants, et des bribes de culpabilité qui pourrissent son esprit. Le gouvernement actuel, il n'en a cure, il se considère comme un être pourri jusqu'à la moelle, ou, parfois, il ne comprend pas la place qu'il occupait dans ce gigantesque et impitoyable système. Sans doute qu'il y a, par-ci, par-là des failles, mais c'est bien la dernière chose qui lui importe.
◮ Est-il content que les Hunger Games soient révolus? Les Hunger Games, difficile d'imaginer que quiconque ait pu prendre part à de tels massacres de masse : difficile à croire, pour Elyon, qu'il y ait eu une quelconque influence. Juge pour les Jeux, il n'a même pas encore parfaitement bien saisi le rôle qu'il jouait dans ces exécutions maquillées en divertissement. Ce n'est d'ailleurs que récemment qu'il a compris l'ampleur du phénomène, maudissant alors chaque parcelle de l'existence qu'il avait pu mener jusque-là : comment pouvoir rester devant un écran de télévision et regarder des enfants s'entretuer ? Ce n'est pas une question d'être content que les Jeux soient révolus, il est là question d'éthique, d'humanité quelle qu'elle soit encore dans ce monde vaste et dévasté. Peut-être que celui qu'il était, sans foi ni loi - visiblement - avant son long coma n'approuverait en rien les récentes révolutions de Panem, si souvent il se pose la question. Les doutes, au fond de l'esprit vidé d'Elyon persistent, reviennent en des vagues tortionnaires : les Jeux, l'ancien Panem, la chute de Snow... tout son esprit, tout ce qui le perturbe à chaque nouvelle aube dépasse de loin ces questions fondamentales.
◮ Sa vie a-t-elle changé depuis la chute de Snow? Si oui, en bien ou en mal? En bien, en mal. Difficile à dire quand on ne se connaît pas vraiment, non ? C'est ce qui pourchasse inlassablement Elyon. Lui qui avait toujours eu de grands plans pour l'après chute de Snow, lui qui s'était accroché à l'espoir infime, minime et puis fou, de retrouver un jour Quistis, d'échapper aux lois de ce monde avec elle, coûte que coûte. En un sens, sa vie a bien changé : elle est désormais bâtie sur une amère ironie, celle d'un combattant, qui s'était trop accroché pour survivre, et qui, finalement, se retrouvait à payer le prix fort pour les multiples rixes qu'il avait commises à l'égard de l'ancien gouvernement. Il n'est désormais plus qu'une âme qui erre, sans savoir s'il doit se plaire ou se sentir tâche dans ce monde qui évolue, change à chaque nouvelle journée. Dans l'idée qu'il s'est fait de l'ancien Panem, il ne peut que se sentir au sein d'un monde plus équilibré, moins tyrannique, et pourtant, règne en lui, en les souvenirs qui reviennent sur le voile de ses paupières, la vague, l'infime impression qu'il appartenait à un tout autre monde avant de perdre la tête.
◮ A-t-il déjà participé aux Hunger Games? Ou bien, un de ses proches? Les chanceux nés au Capitole ne participaient pas aux Jeux : ça, il l'a vite compris, et ainsi, il sait que ni ses parents, ni lui n'ont participé à ces massacres de masse. Ses souvenirs ne vont pas au-delà, et la répugnance qu'il ressent à l'égard de sa famille ne le motive pas des masses à chercher plus loin dans sa généalogie, dans l'infime espoir de trouver un des siens, un Castellanos ayant gagné les Jeux : ce n'est même pas ce qu'il estime être une victoire en soit, si ce n'est celle du meilleur meurtrier précoce, promis à une existence torturée et baignée dans le sang. Et pourtant, pourtant d'après les archives le concernant, la vie qu'il affichait avoir, il prenait bien trop activement part dans ces divertissements d'un autre genre : Juge qu'il était, à même "d'évaluer la marchandise" et de l'exposer aux yeux de tous comme un vulgaire commerçant. Chaque parcelle de son être, de sa mémoire qui le relie à ces Jeux, il les déteste, et c'est, malgré tout, les souvenirs qu'il a le plus en masse, ceux de tout ce dont il se rend coupable, tout ce pour quoi il devrait être condamné sans sommation.
◮ Une petite anecdote, peut-être? & une phrase fétiche? Les anecdotes qui reviennent en mémoire d'Elyon sont assez rares : pourtant, il en aurait des choses à raconter ! Heureusement, lentement mais sûrement - non seulement il parvient à retrouver un peu de sa mémoire - il commence à développer ses propres tics, vieilles manifestations de celui qu'il était d'antan, ou du nouveau "lui" qui naît peu à peu au milieu d'un Panem qui change trop vite pour qu'il s'y adapte vraiment. Sa plus mémorable expérience, reste pourtant sa "première" (première pour lui en tout cas), rencontre avec Quistis, alias "la rousse aux baisers divins" (parce qu'elle embrasse bien, faut quand même l'avouer) digne du réveil de Blanche Neige, avec les rôles bien entendu inversés. Mais il n'aime pas particulièrement en parler : c'est assez gênant comme expérience, bien que "l'ancien lui" n'aurait pu rêver de meilleures retrouvailles avec sa chère et tendre. Niveau "phrases fétiches" c'est assez compliquées, il est un sacré énergumène à lui tout seul et il n'en a rien à faire : certains trouvent qu'il a une tête de has been, avec son nœud papillon et sa veste de tweed, apparemment ce n'est pas la mode au capitole, mais c'est ainsi qu'il s'habille et s'habillait avant ; il trouve ça cool de toute manière, assez cool pour que son style vestimentaire brave son amnésie. Pour en revenir au cœur du sujet, il aime bien dire que les choses sont "cools", et appeler les gens par leur nom de famille... pour le reste, c'est encore assez variable, presque au gré de ses envies et de ses humeurs.
✖ PSEUDO: MARY-W. votre déesse absolue, appelez-moi Dieu également, tout le monde a une statue de moi dans son jardin, that's all. ✖ AGE: vingt ans, et déjà adulée, c'te classe. ✖ COMMENT AS TU CONNU LE FORUM : ahnlala, je suis pistonnée si tu savais. ✖ QU'EN PENSES-TU ?: c'est la perfection, fuck yeah.✖ DEDICACES: A MY LOVE, ELISTIS RPZ.
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<taken>Matt Smith</taken> [color=black]†[/color] Elyon-Yaen L. Castellanos
Dernière édition par Elyon-Yaen L. Castellanos le Ven 4 Jan - 14:50, édité 10 fois
Elyon-Yaen L. Castellanos
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♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
♦ Statut : célibataire, ou fiancé, ou en couple ; il n'en sait rien, les longues périodes d'oubli ont eu raison de tout ça, il n'y pense pas, ou parfois, sans mettre de mot dessus. ses souvenirs s'égarent en direction d'une ombre qui devient de plus en plus ténue, qui a perdu son visage et n'a peut-être jamais eu de nom.
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:31
† DISTRICT 8 || PANEM, AN 69 † because we’re weak, because we’ll die one day, we’ll want to live on, to struggle. only then we humans will become stronger.
La pluie crépitait. La boue devenait glissante, visqueuse sous ses pieds, lui arrachant une grimace tout ce qu’il y a de plus ridicule. C’était tout lui, ça, faire tâche au milieu d’un spectacle de chaos, malgré l’épaisse veste sale qui lui couvrait les épaules, la fadeur des vêtements qu’il portait : rien n’aurait pu le détacher de la foule alentours, ceux qui gravitaient ici et là, passaient, s’éteignaient sous les épais nuages. Rien, si ce n’est son air complètement à l’ouest, sa tronche qui disait ouvertement qu’il n’était pas d’ici, qu’il n’avait rien à foutre là, mais qu’il le faisait, envers et contre tout. L’hiver approchait, le froid grandissait, les maladies commençaient à infester les rues des districts les plus pauvres, et à chaque pas qu’il faisait, dans chaque sillage qu’il suivait avec la rébellion encore discrète qui l’accompagnait, c’était le chaos qui se dessinait sous ses yeux. Loin, si loin du faste, de la richesse et du luxe de tous les crâneurs du Capitole. Souvent, encore, il se demandait comment il avait fait pour se débarrasser des œillères dont tous ses voisins du Capitole étaient encore victimes : ne voyaient-ils pas, à quel point la misère s’étendait, prenante, assassine, au-delà des frontières de cette capitale moderne ? Le désarroi le faisait soupirer, une fois de plus, alors que c’était tous les regards qui le suivaient qu’il ignorait presque ouvertement. Il n’était pas là en ennemi, et ceux qui se souvenaient de sa visite l’an dernier le savaient déjà : dans ces coins-ci de Panem, l’hiver s’annonçait trop rude pour que les habitants n’en subissent pas grandement les conséquences. Juste avant les Moissons pour les Jeux, quelle ironie : à croire que le calendrier ici-bas était bien choisi, soigneusement calculé pour chaque fois plus affaiblir la population, et la réduire à néant. C’était ça toutes les tactiques du Capitole, tout l’art dont ils faisaient preuve pour aplatir les pauvres victimes de ce système : au milieu de tout ça, il s’en était rendu compte déjà, il n’y avait que ses trop rares visites qui apportaient un tant soit peu d’espoir à ces gens-là. Certains habitants s’acharnaient à le repousser, à lui faire comprendre de retourner dans son Capitole, avec tous les riches dignitaires qui l’avaient toujours entouré. Ils n’avaient pas tort, quelque part : il faisait bien ridicule ici, à ramener quelques sacs de bouffe, avec l’attente naïve que ça change quelque chose à leurs conditions de vie. Tant pis, il le faisait quand même, aussi idéaliste pouvait-il se montrer ainsi. C’était tout lui, ça lui ressemblait tellement, ça en faisait rire certains d’ironie pure et dure.
« Hey toi. Je suis sûr que tu as faim. Que dirais-tu… » Il farfouilla dans un des sacs qu’on lui avait tendu, à l’instant où il s’était arrêté, pour s’accroupir au niveau d’un gamin. Le visage sale, le regard fatigué, il avait l’allure de beaucoup d’entre eux : encore trop jeune pour aller aux Jeux, mais déjà dévasté par la menace que représentait le simple fait de vivre dans un monde pareil. « D’une superbe pomme ? » Une mère vint poser ses mains sur les épaules du petit garçon, toisant l’inconnu avec dédain et méfiance. Comme beaucoup. Il leva les yeux vers elle : ce n’était pas la mère du gamin, ça crevait les yeux, mais c’était comme ça la vie par ici, dans ces districts si éloignés de l’influence du Capitole. Différent, du monde dans lequel il avait grandi, si différent, que ça attirait forcément son respect. La femme avait l’air implacable, imperturbable alors qu’elle inspectait Elyon sans ciller. Rares étaient les visites d’étrangers dans le District Huit, sauf pour les Moissons. C’était comme ça, toute la misère de la vie. Il se releva, pour faire face à la femme, et, sous le regard insistant de l’enfant, elle finit par hocher la tête, sans dire un mot. Il prit le fruit, sans un mot, et disparut avec : dès petits, ils étaient déjà conditionnés à ne s’octroyer aucun plaisir coupable ; il la ramènerait chez lui, où elle serait partagée. Comme dans de nombreux autres endroits déjà. La femme, elle, n’avait toujours pas bougée, et alors qu’il avait suivi le gamin de son regard clair, il posa à nouveau toute son attention sur son interlocutrice demeurée jusque-là silencieuse. « On vous amène quelques réserves. Souvenez-vous, ce n’est pas une démarche du Capitole, le District Treize vous salue. » Un vague sourire passa sur les lèvres de l’homme, alors que déjà plusieurs personnes s’étaient massées : le D13, fantôme d’un passé lointain, d’une rébellion qui avait été ravagée, réduite à néant. C’était il y a bien longtemps déjà, bien avant lui et ses petites, infimes démarches de dons de nourriture en tout genre. Il y avait de tout là-dedans, des mets les plus extravagants du Capitole, que ceux des Districts n’avaient jamais vus, aux besoins les plus élémentaires : tout ce qu’il trouvait, tout ce dont il n’avait pas besoin, tout ce que le Capitole ne remarquerait pas comme pertes. C’était comme ça, la vie de Robin des Bois, ou une simili-générosité qui laissait planer un peu d’espoir, une infime paix en ces temps-ci.
Dernière édition par Elyon-Yaen L. Castellanos le Ven 4 Jan - 16:02, édité 9 fois
Elyon-Yaen L. Castellanos
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♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
♦ Statut : célibataire, ou fiancé, ou en couple ; il n'en sait rien, les longues périodes d'oubli ont eu raison de tout ça, il n'y pense pas, ou parfois, sans mettre de mot dessus. ses souvenirs s'égarent en direction d'une ombre qui devient de plus en plus ténue, qui a perdu son visage et n'a peut-être jamais eu de nom.
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:31
† LE CAPITOLE || PANEM 2.0, AN 1 † citation, citation, citation en construction etc, en construction
« On se connaît ? » Péniblement articulé. Et le regard de la rousse qui perdait de ses lueurs, elle détournait les yeux, incapable de dire le moindre mot. Dans ses cheveux de feu, c’était un gouffre sans fin dans lequel il sombrait, happé par cette impression de… d’il ne savait quoi. Revenaient au fond de ses souvenirs, au bord de ses lèvres un cri d’horreur, à la charnière de sa peau, une brûlure mordante, une déchirure dans tout son être. Sa tête, sa tête si douloureuse, ses muscles crispés par la peine. Une voix, une voix. Qui résonne, chante au fond de ses synapses, les fait communiquer, les uns avec les autres. Elle lui donne toute sa raison, il se sent happé par la folie, mais c’est la mélodie d’un « Je t’aime. » D’auteure inconnue qui le fait s’accrocher, resserrer ses doigts sur le glacial d’un mur de pierre sombre. L’asphalte le glace, l’asphalte le brûle, ces sensations le traversent, l’électrifient, le fracturent de part en part. Ses volontés, peu à peu, s’effritent, s’extirpent de son esprit alors qu’il se force au mutisme. Sa gorge lui brûle, chaque nerf de celle-ci s’arrache à chaque cri de douleur qu’il retient, à chaque manifestation de sa peine qu’il plaque contre ses lèvres, pour se donner courage. Courage. Les déstabiliser eux. Tenir bon. Penser à elle, elle, libre, libre, libre. Tourne au fond de sa tête l’image de son baiser, le souvenir de la douceur de sa peau, la soie de ses cheveux. Quistis, un nom qui le hante, qui l’habite, le fait vivre. Qu’ils extirpent à son esprit aussi fort qu’il s’y accroche. Quistis quoi ? Qu…oi ? Et le néant, l’ombre qui a fini de l’avaler, elle s’efface, se fane, meurt, oubliée.
« Va-t’en, ne m’attends pas ! » Elle fait volte-face, dans un ultime regard : mais la pauvre, elle n’a déjà plus de visage, plus d’identité au fond de l’esprit du prisonnier qu’il était. Brune, rousse, blonde, il n’en sait rien, tout ce qu’il a retenu, c’est le raté qu’a fait son cœur, l’instant de profonde crainte qu’il a eu, alors qu’il la perdait. Ses yeux s’étaient ouverts sur l’épaisseur de la nuit noire : ses souvenirs ressassaient l’image d’un Capitole en ébullition, aux lumières si vives qu’il trouvait rarement le sommeil, se contentant parfois, d’observer d’où il était, les mille feux et lumières que diffusaient la ville. Enfant, il s’en souvient, il se demandait pourquoi la ville battait aussi fort en son sein, et sa mère répondait par un doux sourire à cette question. Douce, c’était ainsi qu’il se souvenait d’elle, Esmée, la caresse de ses doigts maternels dans les cheveux de son fils, la façon qu’elle avait de parler, sa voix qui résonnait au creux de son oreille. Elle était l’ancre à son amour, dans un monde qui ne lui convenait pas et… Et de toute manière, ses souvenirs n’allaient guère plus loin. Pour compenser ses cauchemars incessants, il ressassait l’image maternelle de cette femme bienveillante, s’en berçait, en profitant pour s’échapper du monde étouffant où il vivait. Ce monde sans sens. Dans un soupir, il souleva les couvertures chaudes de son lit, se rendant enfin compte que la sueur d’un songe paniqué avait recouvert finement sa peau. Comme toujours. Comme si souvent. Dans un vague passage de ses mains sur son visage, il revit quelques parcelles de son indélicate rêverie, des flashs qui le torturaient, le trahissaient. L’hôpital avait effacé toutes ses douleurs physiques, mais ses cauchemars restaient les maux qui le tuaient à petit feu : ça, et l’incapacité qu’il avait à mettre des mots sur ce qu’il ressentait, sur ce qu’il vivait, nuit et jour. Jour et nuit, inlassablement. C’était comme un film qui repassait devant ses yeux, dont il ne connaissait pas les acteurs, avec leurs noms au bout des lèvres, mais l’incapacité de les saisir. Elle, il y avait elle ; celle pour qui il avait tant craint, tant vécu, tant bataillé, l’inconnue sans visage, celle qui le faisait frissonner d’effroi ; à la simple idée qu’elle lui avait échappé pour de bon. Il soupira, une nouvelle fois, s’abandonnant au désespoir. Il se souvenait qu’en des circonstances pareilles, il plongeait trop souvent son nez dans des alcools divers du Capitole, qu’il détestait par-dessus tout, mais qui permettaient de le mettre d’assez de bonne humeur pour supporter l’insupportable. Encore, il espérait que c’étaient lors de ces longues cérémonies des Jeux, ces tortures inlassables qu’il faisait vivre à ceux qui ne le méritaient guère.
L’on disait que le monde avait changé, que la Révolution avait gagné, que tout n’était qu’un avenir prometteur. Il se plaisait à le croire, sans pour autant avoir de véritable point de repère, si ce n’est les rares choses qu’il savait sur lui, et les points de repère qu’il se faisait avec les livres à sa disposition : rien de bien concluant, qui ne l’amenait qu’à plus se torturer l’esprit encore. Le Capitole, l’organe des tortionnaires de ce bas-monde, celui aux pourris sans foi ni loi, qui se disaient être des politiciens, des fous, des hauts dignitaires de ce monde. Il savait, il savait que c’était là qu’il avait grandi, qu’il avait vécu : là que, du haut de son chez-lui, dans ce jardin typiquement artificiel que sa mère avait entretenu avec soin, il avait observé le monde tourner. A l’arbi. A l’abri de tout, protégé par son statut d’enfant chanceux. Et puis… et puis plus rien, sauf les visions incessantes des tortures qu’il avait vécues, quelques paroles sans sens, quelques mots rendus inaudibles par le torrent de sang qui vrillait ses tympans. C’était peine perdue, que d’essayer de mettre des explications sur le chaos qu’avait été sa vie : plus il cherchait, moins il n’avait envie de trouver. Il revêtait l’habit d’un Juge des Jeux, d’un gamin privilégié, de ceux qui aujourd’hui, étaient exécutés sur la place publique pour avoir condamnés trop de gens à la mort. Il revêtait le costume du parfait habitant du Capitole, le niais, l’abruti qui s’amusait devant sa télévision, à observer les malchanceux s’entretuer, pour les faire survivre dans la crainte incessante. C’était peut-être la haine de lui-même, une fuite en avant pour survivre qui faisait qu’il oubliait inlassablement : il ne voulait pas, il ne voulait pas redevenir ce qu’il avait été, le fou, le tortionnaire. Ces cauchemars, peut-être bien que c’était le fardeau qu’il devait porter pour ses péchés : alors il n’en parlait pas, jamais, hanté, habité par ces vieux démons ; il les laissait lentement mais sûrement prendre le pas sur tout le reste, tout ce qu’il pouvait rester de lui. Le chaos, de toute manière, c’était tout ce qui l’entourait. Heureusement, il savait encore faite bonne figure.
Dernière édition par Elyon-Yaen L. Castellanos le Ven 4 Jan - 16:34, édité 6 fois
Annie Cresta
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:32
AMOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR Merci d'avoir pris le scénar de moi en version rousse JE T'AIME Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Si tu as des questions, je suis dans ton lit
Invité
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:35
Bienvenue parmi nous, et quel choix de scéna Mary-W, alias la fille qui a totalement le même avis que moi sur TVD dans les débats Bazzart contente que tu sois parmi nous bon courage pour ta fiche
Elyon-Yaen L. Castellanos
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♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
♦ Statut : célibataire, ou fiancé, ou en couple ; il n'en sait rien, les longues périodes d'oubli ont eu raison de tout ça, il n'y pense pas, ou parfois, sans mettre de mot dessus. ses souvenirs s'égarent en direction d'une ombre qui devient de plus en plus ténue, qui a perdu son visage et n'a peut-être jamais eu de nom.
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:39
MY LOOOOOOOVE (même pas tu m'accueilles avec ma sexy mienne ) de rieeen, mais tu sais que c'est moi et rien que moi qui ai l'autorisation ministérielle, mondiale, divine même de prendre tes scénars, fuck it, c'est comme ça JOTEM AUSSI et oui, je sais que tu es dans mon lit, j'en reviens tout juste huhu
HAZEL hinhin, les débats TVD de bazzart, tout un truc en même temps, c'est tellement à s'arracher les cheveux ce que disent certains des fois naon je n'en parlerai pas ici, JOTEM alors si tu penses comme moi (démocratie power) et merci
Haymitch Abernathy
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♦ District : dans tes fesses.
♦ Métier : alcoolique annonyme.
♦ Statut : célibataire.
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:44
(c'est bon je suis là avec ta tienne ) C'est vrai ça owi et c'était cool
Elyon-Yaen L. Castellanos
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♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
♦ Statut : célibataire, ou fiancé, ou en couple ; il n'en sait rien, les longues périodes d'oubli ont eu raison de tout ça, il n'y pense pas, ou parfois, sans mettre de mot dessus. ses souvenirs s'égarent en direction d'une ombre qui devient de plus en plus ténue, qui a perdu son visage et n'a peut-être jamais eu de nom.
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:46
HALLELUJAH ma vie est complète maintenant, jomeurs en paix *o* je reviens quand tu veux, hin
Finnick Odair
fonda ▲ don't trust her.
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♦ Métier : Il aide à reconstruire panem officiellement, officieusement il n'est qu'un autre jouet du gouvernement
♦ Statut : Il ne saurait définir les sentiments qu'il ressent pour elle. Est-ce vraiment les siens ou un simple écho des souvenirs du vrai finnick?
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:47
MON CHOU! Votre histoire elle déchire tout! BIENVENUUUUE SUR RONR! Et bon courage pour ta fichette surtout!
Elyon-Yaen L. Castellanos
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♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
♦ Statut : célibataire, ou fiancé, ou en couple ; il n'en sait rien, les longues périodes d'oubli ont eu raison de tout ça, il n'y pense pas, ou parfois, sans mettre de mot dessus. ses souvenirs s'égarent en direction d'une ombre qui devient de plus en plus ténue, qui a perdu son visage et n'a peut-être jamais eu de nom.
Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:49
MON CHOUUUUUUU ELISTIS c'est trop d'la balle merci merci, j'aime cette pluie de smileys rien que pour moi, moahaha, JOTEM
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:52
BIENVENUE SUR RONR Merci de ton inscription et bonne chance pour ta fiche! Je vais répéter mes copines du staff mais si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas, on se fera une joie de t'aider.
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:52
mais grave, parfois c'est n'imp, mais bon t'es de mon côté alors on ne dira rien jotem déjà aussi vous me donnez envie de me mettre à doctor who
Elyon-Yaen L. Castellanos
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♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:53
MERCI PEETA
METS TOI A DOCTOR WHO c'est tout ce que j'aurais à te conseiller, en toute objectivité, bien entendu
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:58
j'vais voir j'vais voir j'ai déjà tellement de séries en même temps mais bon, j'vais voir c'que j'peux faire
Elyon-Yaen L. Castellanos
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:59
Mais DW ça se met en tête de liste, y'a pas photo (faut commencer par le début par contre hein, saison 1 de la nouvelle version, aka Christopher Eccleston, sinon tu es une hérétique )
Haymitch Abernathy
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 20:59
Elyon-Yaen L. Castellanos a écrit:
HALLELUJAH ma vie est complète maintenant, jomeurs en paix *o* je reviens quand tu veux, hin
nan tu as interdiction de mourir owi, je t'attend de suite alors
OUIIIIIIIIIII FAUT MATER DW DW C'EST LA VIE
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 21:01
j'ai cru comprendre
Elyon-Yaen L. Castellanos
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 21:03
J'ARRIVE
Allez, passage à l'acte maintenant, Hazou
Haymitch Abernathy
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 21:10
♦ District : il a toujours vécu au capitole, on est chanceux ou on l'est pas : bien entendu, au cours de sa vie, il a eu tout le loisir de parcourir les autres districts, en toute illégalité.
♦ Métier : dans ce dont il se souvient, il se voit juge aux jeux, et puis faire d'autres choses dont il ne comprend pas le sens, pas encore ; il se voit prisonnier, en proie aux pires tortures de l'être et de l'âme : aujourd'hui, dans sa quête de "vie nouvelle", d'une rédemption qu'il ne devrait pas chercher, il est tout simplement libraire.
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 28 Déc - 22:57
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Mer 2 Jan - 20:30
Re-Bienvenue sur RONR Bon courage pour ta fiche.
Elyon-Yaen L. Castellanos
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Jeu 3 Jan - 20:48
Merci, merci
Haymitch Abernathy
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 4 Jan - 18:15
haha superbe déco/reco en ton honneur *baff* Il va de soi que tu es Quistilidé. N'oublie pas d'aller recenser tes points dans ce sujet. Bon jeu parmi nous Et : JE T'AIIIIIIIIIIIIIIIIME Garde moi un rp
Elyon-Yaen L. Castellanos
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 4 Jan - 18:23
Merciiiiiiiii
JOTEM AUSSI un rp pour toi ?! :O naon, j'y avais vraiment pas pensé
Haymitch Abernathy
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart. Ven 4 Jan - 18:27
mais de rien
jvais pleurer
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Sujet: Re: (+) in the end, they just break my heart.