◮ Que pense ton personnage du nouveau gouvernement?
Nouvel ère, Panem renaît de ses cendres mais qu’est ce qui les attend désormais ? Vadim en est heureux à un mauvais pressentiment comme si quelque chose de mal allait se passer , mais c’est sans doute son côté pessimiste qui lui fait dire ça. Cependant il faut avouer que tout bonheur à une fin.

◮ Est-il content que les Hunger Games soient révolus?
Evidemment, il n'attendait que cela depuis le début. Que cette tuerie prenne fin, trop d'enfants sont morts, trop de foyer détruits. En tant que participant et gagnant des soixante douzième hunger games, il sait que c'est un expérience qu'aucune autre personne ne doit vivre désormais.

◮ Sa vie a-t-elle changé depuis la chute de Snow? Si oui, en bien ou en mal?
Oui, même l'un des souhaits de Vadim était de le voir tomber, manger la poussière. De se rendre compte qu'il n'avait aucun contrôle sur le peuple. Chose faite, désormais il peut vivre en homme libre, changement assez grand pour faire naître l'espoir dans le coeur du peuple.

◮ A-t-il déjà participé aux Hunger Games? Ou bien, un de ses proches?
Oui, il a est le gagnant du soixante douzième Hunger Games, pour survivre il a dû tué 7 vies, bien que tout le monde croit qu'il se souvient de leur visage. C'est faux, Vadim se souvient simplement de voir leurs cadavres gisant et que c'était soit leurs vies ou la sienne. Il a culpabilisé, mais désormais il vit avec. Son frère aîné à périt lors du soixante dixième jeu de la faim, il s'en est beaucoup voulu de ne pas avoir pris sa place.

◮ Une petite anecdote, peut-être? & une phrase fétiche?
Avant les hunger games il était le jeune petit intrépide et rebelle du quartier, un peu comme un mini robin des bois. Tous le monde se doutaient que s'il y avait une révolte il en ferait parti. Il a une certaine emprise sur la gente féminine dû à son sourire. Gamin, il est resté inconscient pendant 7 jours dû à une mauvaise chute d'un arbre. Ce n'est pas pour autant qu'il a arrêter de grimper. phrase fétiche: "Unbowed, Unbent, Unbroken".

✖ PSEUDO: berlioz. ✖ AGE: 19 yo. ✖ COMMENT AS TU CONNU LE FORUM : bazzart. ✖ QU'EN PENSES-TU ?: ça fait un moment que j'héssite à venir je le trouve donc awesome.✖ DEDICACES: écrire ici.

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<taken>craig horner</taken> [color=black]†[/color] vadim k. sarrant

L'histoire de votre personnage, à présenter sous la forme que vous désirez en une quarantaine de lignes.

Le ciel se couvrait de l’obscurité de la nuit lorsque résonnèrent les premiers chocs de fer dans un petit bois. « Doucement fiston. » ce combat opposait un garçon d’environ quinze ans, les cheveux en bataille, pas spécialement grand. Face à lui un homme plus vieux, le temps ayant laissé ses marques sur son visage. La vivacité et la hargne du plus jeune empiétait sur la force et l’expérience du plus vieux. Ils n’avaient ni amure, ni bouclier pour se protéger. « Vous vous faites vieux père. » article le gamin en croyant qu’il allait obtenir la victoire. Puis le jeune détourna un simple instant le regard dû à un bruit qui a suffit de le distraire. Le plus vieux profite de mettre fin au combat d’un coup de revers de lame pour lui faire lâcher son épée et d’un seconde attaque: coup de pommeau au visage avec suffisamment de force pour le faire tomber à la renverse et de pointer son épée eu niveau de sa gorge. « Leçon n°2 ne jamais croire que tu es vainqueur tant que ton adversaire n’est pas au sol. » le gamin est essoufflé et quelque peu énervé d’avoir perdu ce combat. « Et surtout soit toujours dans être ton combat, une seconde de distraction et tu auras la gorge tranché. » Vadim soupire lorsque son vieux père lui tend la main pour l’aider à se relever. « Pourquoi autant dramatisé père, s’il faut je n’y participerai jamais. » dit-il en récupérant son épée, quelque peu énervé de perdre et d’entendre toujours les mêmes paroles. « Ne dis jamais ça Vadim, personne ne peut prévoir ce que l’avenir nous réserve. » la fureur de son père lui fait détourner les yeux, il hausse les épaules. « mais.. » Vadim n’en reste pas là, une autre tentative de rébellion mais en vint puisque son père lui coupe la parole. « Tes acquis te serviront toujours fiston, je ne fais pas ça en vain. Tu es très bon pour ton âge. Un don, il serait bien triste de le gâcher. » Il le complimente pour le faire taire, Vadim contracte la mâchoire et soupire en frottant sa joue meurtrit. « Contrairement à Lubryn. » Ses prunelles défient celles de son père qui perd patiente. « Il sait à peine tenir une épée, c’est lui que tu devrai entraîner pas moi. Tu as honte de lui. » Son géniteur, d’un coup féroce l’envoie au sol. « N’insulte pas ton frère. Tu m’entends !! » Restant au tapis, le brun baisse ses prunelles. Insulté son frère n’avait pas été sa meilleure idée mais lorsqu’il remarquait que son géniteur ne faisait rien pour aider son premier fils à sa battre, cela l’agaçait. Son père avait tellement honte de lui qu’il est incapable de lui offrir son enseignement et le laissait avec ses plantes et son savoir sur la médecine. « Relève-toi, et continue à t’entrainer. Hors de question que tu manges ce soir. » Vadim se relève avant de cracher du sang, avec hargne il réajuste son haut et s’époussette « Comme vous voudrez. » le crochet de son père était d’une puissance fulgurante et douloureuse, rien qu’à l’épaisseur de ses bras personne n’avait envie d’y goûter.
[...]
« Tu t’es encore battus avec notre père. » dit son frère sur le porche de la petite maison, Vadim ne lui adresse même pas un regard. « Qu’est-ce que cela peut te faire. » dit-il sèchement, Lubryn se place devant lui posant ses yeux sur ses blessures. « Il n’est pas allé de ma main morte cette fois. » au mot de son frère la mâchoire du brun se contracte, ses prunelles se plongent dans celle de son frère. « Pousse-toi. » dit-il en poussant légèrement son aîné, la main de ce dernier se pose sur son épaule. « Je ne suis peut-être pas doué pour manier une épée et tirer à l’arc mais laisse-moi te soigner. » la gentillesse de son frère le fait soupirer, il se rend alors compte qu’il n’y est pour rien et se demande pourquoi il lui en veut. Ses lèvres alors s’étirent d’un léger sourire posant sa main sur son bras. « Je veux bien ça me fait un mal de chien. » Ludryn sourit à son tour en prenant son cadet par la nuque. « Evite de m’en vouloir à chaque fois que tu te dispute avec lui. » Vadim hausse les épaules et ne préfère articuler aucune réponse à ce sujet. La plupart du temps ils s’entendent, malgré leur différent et que les rôles soient inversé. C’est Vadim qui protège Lubryn, cela a toujours été ainsi. Lubryn n’a jamais été battit pour le combat, il a hérité de la beauté de leur mère et de gentillesse, il a simplement hérité de l’obstination de leur père. Vadim lui est le portrait craché de son père, seul son sourire, il a celui de sa mère parait-il.
[...]
« Tu ne partiras jamais au combat, Jude. » articule Vadim à son frère, il ressert un peu trop fort le bandage autour de son bras, ce qui arrache une légère grimace à Vadim. « Tu n’en sais rien. » Lubryn fuit le regard de son frère en attrapant une deuxième bandage. « Père devrait plutôt te préserver que de te blesser. » Vadim soupir en levant les yeux au ciel, il se tourne vers son ainé et saisit sa nuque pour qu’il pose ses yeux sur lui. « Je te le promets Lubryn, tu n’iras jamais. » Lubryn se dégage de la pression faite par son frère en le poussant « Arrête tu ne peux pas savoir quel nom sortira. » dit il d’une voix tremblante et agacée en se levant par colère, Vadim regarde l’angoisse s’emparer de son frère. « Je te protégerais quoiqu’il arrive. » Lubryn comprit alors que si son nom est prononcé Vadim prendra sa place. Il ne pouvait pas laisser faire ça, Vadim de ne devait pas sacrifier pour lui « Ne te sacrifie pas pour moi. » dit-il dans un élan de rage, Vadim se lève et essaye de raisonner son frère qui ne veut rien écouter « Arrête de toujours vouloir me protéger. » Il le pousse Vadim soupire et hausse les épaules. « J’ai plus de chance de survivre que toi. » finit-il par prononcer par agacement. Lubryn, par frustration, aplatit son poing sur la joue déjà abîmé de son frère. « Tu as pitié de moi c’est ça !! Tu n’es pas mieux que notre paternel. » C’est atour de Vadim de frapper son ainé, qui lui finit au sol. « Tu ne comprends donc rien !! Je t’ai toujours protégé et je le ferai encore » il s’accroupit, le saisit par les épaules. « Je n’ai pas envie te voir mourir» Lubryn baisse les yeux saisissant les bras de son frère. « Moi non plus. » Vadim sourit à son frère. « Je survivrai. » tous les deux avaient eu la nette impression que l’un des deux participerait à la 70ème édition des hunger games. Cette même crainte, comme chaque année, mais en deux fois plus puissante.


Ce jour est arrivé, les frères sont séparés de quelques rangs, Vadim jette un coup d’œil à son frère qui est là debout, tête baissé et point fermer. C’est la dernière année pour Lubryn et il sera tranquille, plus jamais ils ne devront se battre ravoir cette conversation. Vadim est quelque peu soulagé, il espère que cette crainte qui l’envahit d’entendre le nom de son frère va s’estompé. La fille est appelée en premier, du même âge que Vadim, belle et frêle. Ses yeux sont remplis de larmes, ses jambes tremblent, elle est déjà perdu. « Lubryn Sorrant. » ses prunelles se ferment, ce qu’il regrettait le plus vient de se produire, il ouvre la bouche pour se porter volontaire mais, quelque chose lui en empêche, non la crainte mais une douleur infâme dans son bras, comme une aiguille qui s’enfonçait dans chair, qui le paralysait « De la part de Lubryn. » sa vue se trouble un instant, son assaillant le retient pour ne pas qu’il s’écroule. Son frère venait de lui empêcher de se présenter à sa place. Il regarde alors son frère impuissant monter sur la scène, il lisait sa crainte dans ses yeux. Alors pourquoi lui empêcher de prendre sa place ?
« Pourquoi tu à fais ça. » articule Vadim en hésitant de frapper son frère, c’était peut-être fois la dernière fois qu’il le voyait. Il le serre contre lui avec une certaine violence. « Pauvre con, ça aurait dû être moi. » Lubryn le regard d’un air attristé, par colère Vadim saisit le col de son frère « Tu m’as assez protégé petit frère, je ne pouvais pas te laisser faire ça. Je m’y était préparé, nos deux noms étaient tellement fois dans l’urne. Si cela avait été toi, j’aurai quand même pris ta place. » ses doigts se relâchent, il l’avait devancer, à chaque fois Lubryn avait eu cette longueur d’avance. Lubryn resserre ses bras contre son frère. « C’est fini. » articule la voix roque du garde, Vadim se retourne la tristesse au bord des yeux. « Tout vas bien se passer. Merci de m’avoir enseigné quelques tours de passe-passe. » Vadim se recule avant que cela soit un garde qui le fasse. « Cours et cache-toi. » dit-il, il voit les traits apeuré de son frère, la porte se ferme.

« Explique-moi Vadim pourquoi tu n’as pas pris sa place. » son père l’envoie au sol avec force, Vadim comprends la rage de son père, il à la même qui l'envahit. « C’était son choix. » son père lui inflige un nouveau coup qui le fait rouler au sol, il se tord légèrement de douleur. « Chéri, ça ne servira à rien. Ce qui est fait est fait.» sa mère le retient avant qu’il n’assimile de coup le brun. « Je t’ai entrainé pour sauver ton frère et toi tu lui dis que c’est son choix. Tu es un froussard et un lâche. » il quitte la pièce en poussant sa femme. Vadim reste au sol, ses larmes se mélanges à son sang qui ruissèlent sur son visage. « Je n’avais pas le choix. » dit-il faiblement, il sent les doigts de sa mère se perdre dans ses cheveux, elle le tire contre elle. « Là, doucement. » elle lui embrasse le crâne alors qu’il pleure sur son épaule. Elle aimait ses deux fils plus que tout au monde, elle ne pouvait pas en vouloir à Vadim de ne pas avoir pris la place de Lubryn. Car dans les cas elle voit la perte d’un de ses fils.
Vadim n’avait pas arrêté de s’entrainer pour autant, il passait ses journée à s’exténué là-bas, à canaliser tout cette rage et cette frustration. Il ne voulait pas voir son frère mourir par sa faute. Il a dû faire face à cette perte en voyant sa mère en pleure et son père les larmes aux yeux. Il comprit alors qu’il ne rêverait plus jamais son frère, mort à peine quelques jours du commencement. « Tu aurais dû être à sa place. » sa mère le gifle, il sait que c’est la colère et la perte d’un fils qui lui fait dire ça. Mais cela lui suffise de le blesser, encore plus douloureux qu’une lame qui lui entaille le bras. C’est l’une des pires douleurs que d’entendre sa mère lui dire ça. Tout le monde aurait pensé que suite à la mort de son frère Vadim allait être différent, froid et impassible comme son père. Alors lorsque les habitants ont revus son sourire et son charme, ils se sont alors dit que sa sensibilité avait été tuée en même temps que son frère. Chose fausse, Vadim encaissait sa tristesse d’une autre manière. Lui n'avait qu'une envie s'était de se rebeller, de montrer qu'il n'était pas un pion de ce grand échecier.

« Vadim Sarrant. » son frère avait été mort en vint, malgré le sacrifie de Lubryn le deuxième frère Sarrant participera au Soixante-douzième édition des Hunger Games. Aucune crainte l'a envahit, il est resté impassible, il avait comme un masque, aucun sentiment n'est apparu, peu de mots sortis de sa bouche. Pour les entraînements, il les faisait seuls, n'écoutant que lui même. mais il ne peut s'empêcher d'échanger quelques mots avec certaines personnes de deux ou trois districts.Il était trop loin d'être mauvais et de voir des gamins de douze ans, ça l’accablait car il savait pertinemment qu'ils n’allaient pas survivre. Lors du jeu, il en aida un mais son aide n'était pas suffisante, il l'a su lorsqu'il a vu son image s'affiché dans le ciel.

Lorsqu’une personne retire la vie à une autre, plusieurs sentiments s’empare d’elle. Cella peut-être la peur, la culpabilité, la colère, un profond plaisir. Lorsque Vadim arracha la vie à ce gamin de son âge qui avait essayé de le tuer, il n’avait rien ressentit du tout. Même pas un frétillement d’un quelconque sentiment, il s’était simplement défendu. Il avait planté son couteau de façon à ce qu'aucune souffrance envahisse ce garçon, à ce qu’il ne se vide pas de son sang. C’est après que le dernier frère Sarrant ressentit un drôle de sentiment, de la culpabilité car il aurait pu être le frère de quelqu’un aussi. Un enfant qui ne rentrera pas chez lui. Mais vite ce sentiment s’est estompé, s’était sa vie ou là leurs. Ils tuaient pour vivre mais sûrement pas par plaisir. Vadim n’hotta aucune vie sans être attaqué, il jouait les rôdeurs. La chasse lui avait bien servit, il savait brouiller ses traces et suivent celles des autres. Par victoire il réussit à avoir son arme favorite, une épée. Dans son malheur il était chanceux, tout le monde lui disat : « Tu as de la chance gamin. » car il volait sans se faire prendre, une situation en sa défaveur se transformait autrement. Sa rébellion lui à coûter quelques coup de fouets mais elles n’ont pas été toutes punies.
« Ne me tues pas. » son épée sous sa gorge, Vadim ne vivait que pour lui. Il ne s’était pas rallié, il était complètement seul. Jusqu’à ce qu’il croise la fille de son district. « Vadim, on est du même district. » étonné qu’elle connaisse son nom, il arque un sourcil. « Je ne te connais pas, dis-moi une raison de te faire confiance. » elle est complètement effrayée, ses pupilles son dilatées, son souffle court. « Je pourrais te soigner. » dit-elle en voyant son bras gauche en sang, Vadim sourit. « Je peux le faire tout seul. » habituellement il n’est pas si insensible, au contraire il a les allures d’un robin des bois. Il avait une belle petite réputation dans le quartier et au près de la gente féminine « S’il te plait. » il n’allait pas la tuer, la laisser fuir oui mais arracher sa vie. Il rengaine son épée. « Pars et essaye de survivre. » dit-il en lui faisant signe de partir, elle se réjouit mais aux lieu de se pendre ses jambes à son coup. « Je savais que tu n’étais pas un tueur. » Vadim se tourne vers elle. « Je le suis, la plupart de nous le sommes. » dit-il en reculant de quelques pas. « Je peux rester ? » il secoue la tête négativement avec un léger sourire. « Non tu me ralentiras. » elle s’avance vers lui. « Ta blessure aussi, elle à l’air profonde. » elle la touche des bouts des doigts, il lui attrape la main. « Dégage. » il la pousse pour continuer sa route, il n’allait pas lui accorder sa confiance ed cette manière. « Vadim, dans mes souvenirs tu n’étais pas ainsi. Même après la mort de ton frère, tu es resté le même. » elle parle trop, elle l’énerve voilà pourquoi il se tourne vers elle et la saisit par le col. « Les temps changent, ferme là maintenant. » elle va pour répliquer, mais il met sa main devant sa bouche. « Chut. » il avait entendu quelque chose qu’elle n’avait pas entendu, il aurait dû s’en douter si elle voulait le suivre c’était qu’elle était en danger. Certains sont prêts à tout pour gagner même traquer une pauvre fille telle qu’elle est. « Cours. » il la pousse pourquoi qu’elle s’élance dans sa course. « Tu ne vas pas les tuer. » questions stupides, il la tire par le bras. « Parfois il faut mieux fuir que de faire face au danger. » dit-il, la demoiselle avait raison il était fatigué et sa blessure était de plus en plus douloureuse. Ils avaient réussi à le ou les semer après de longues minutes de course, bougeant son bras douloureux elle le regarde. « Laisse-moi te soigner vieux loup. » et c’est ainsi qu’ils commencèrent tous les deux à survire ensemble. Il lui accordait le strict minimum de sa confiance, et il avait bien fait. Car le jour où il sentit la lame du couteau de la fille transpercer sa chair, s’il lui avait accordé toute sa confiance ce coup lui aurait été mortel, il avait réussi à détourner le coup. Lui ne rata pas le sien et il la transperça, regardant sa vie la quitter, jusqu'à ce que la lueur de sa vie quitte ses prunelles. Lui s’effondra à côté de son cadavre, main sur sa blessure pour empêcher le sang de couler. Quel idiot, il n’aurait jamais dû la laisser le suivre. Encore bien plus blessé qu’à la rencontre avec cette fille, il s’est longtemps demandé s’il allait survivre. Il le devait, pour son frère, même s’il était mort il devait continuer à vivre pour Lubryn et le reste de sa famille. Mais dans ce genre de moment, plus personne ne ressent la douleur, elle s’estompe peu à peu, le quitte le temps de brandir son épée et de retirer encore une vie pour la sienne. Cela en faisait déjà bien trop, 7 pour une seule. Il venait de gagner la soixante douzième édition du jeu de la faim. « Le gagnant des soixante et douzième Hunger Games Vadim Sorrant. »

Lorsqu’il est revenu du jeu, il n’était pas le même. La noirceur dans ses prunelles le rendait effrayant, cela avait heurté sa sensibilité, son côté humain sympathisant. Lui qui avait l’étoffe d’un héros révolutionnaire, n’était plus qu’un pauvre gamin sans âme. Il était là, sa bouche ne s’ouvrait plus, son si beau sourire n’illuminait plus son visage. Il était connu pour avoir gagner le jeu de la faim, il a tué tant de personnes. Tant de foyer accablé par la morte de leurs enfants, 7 au total. 7 qui lui ont voulu la mort et c’est lui qui leur a donné. Personne même son père à chercher à la raisonner et le faire ressortir de cette phase. Pendant un an et demi il n’était plus qu’une ombre, jusqu’à ce que quelque chose le fasse ressortir de sa tanière. Il s’était assez accablé sur son sort, il était vivant lui et aux noms de tous les enfants tués, de tous les morts massacrés dû au Capitole, il allait se battre. C’est ainsi qu’il avait rejoint le rang des rebelles.

Vadim n’allait pas rester là les bras ballants, il avait toujours eu cette envie de se rebeller contre le capitole. Il n’était pas né pour être un bon petit ouvrier, non Vadim est quelqu’un qui ne se laissera plus jamais diriger. Lors de la rébellion il avait eu sa place, il avait participé à la chute du Capitole et c’est la seule chose qu’il voulait. Il est devenu une sorte de héros pour certains. Mais Vadim pense que c’est une victoire gagné qu’à moitié, il se demande bien ce que leur réserve ce nouveau régime. Plus d’Hungers Games, l’une des meilleures choses qui soit, une libre circulation mais beaucoup de chose peuvent se cacher derrière une autre.