NOM(S): Fanty PRÉNOM(S): James ÂGE: 22 ans. DISTRICT:écrire ici METIER: contrôleur de train. SITUATION CIVILE: Célibataire GROUPE: panem's people. COPYRIGHT: Tumblr
je suis né au district six • j'ai été adopté à ma naissance • Je suis aventureux et voyager est une de mes passions • Mon oncle travaillait au nom de l'ancien gouvernement. • J'ai quitter le domicile parental à l'âge de dix huit ans • Je suis déterminé et en prime je suis têtu • J'ai beaucoup de volonté à telle point que j'entreprend tout ce que je veux • J'aime mon indépendance • Je ne suis pas renfermé et je ne fais pas parti de ceux qui se disent "ouvert" • Ma confiance, elle se gagne. • Mon frère et moi vivons ensemble • On dit de moi que je suis intelligent • La paresse l'emporte souvent • Certains arrivent à me pousser à bout, dans ces moment là je suis pris d'une fureur. Il m'arrive rarement de ne plus me contrôler mais des foi j'en viens aux gestes • Je ne peux ouvrir mes sentiments et ressentiments aux autres. Même mes proches n'ont pas ce plaisir. • Je suis dévoué envers mon entourage. Pour rendre service, je n'hésite pas. • Ce que je déteste : l'ennuie, le parfum, les femmes faciles, le pessimisme, ne rien faire et attendre le temps passer... • Ce que j'aime : voyager, courir, parler, mon métier, le déterminisme chez une femme...
◮ Que pense ton personnage du nouveau gouvernement? Je n'ai pas d'opinion. Il est vrai que je ne porte pas beaucoup d'importance à la politique. Pour être plus précis, je m'en contre-fiche. De plus, je ne connais pas ces gens. Du moment qu'ils ne me portent pas préjudice et qu'ils ne s'occupe pas de ma vie privée je n'ai rien à dire du nouveau gouvernement, qu'ils fassent ce que bon leur semble.
◮ Est-il content que les Hunger Games soient révolus? Etant donné qu'aucun de mes proches n'a participé aux Hunger Game, je ne me sens pas concerné par ce jeu. Je ne suis ni content, ni mécontent. Cela me fait ni chaud ni froid.
◮ Sa vie a-t-elle changé depuis la chute de Snow? Si oui, en bien ou en mal? Je suis contrôleur de train tout comme mon petit frère. Avant la chute de Snow, quand les habitants ne pouvaient pas se déplacer entre les districts légalement, je prenais des risques; J'ignorais cette règle lorsque les clients s'avéraient généreux. Je dirais dans ce cas que ma vie à changer, en mal autant qu'en bien. A présent, voyager est légale et les clients ne me payent plus pour ce privilège. Mais d'un certain coté je suis rassurée pour mon petit frère qui lui aussi est contrôleur. Ce métier n'est plus risqué.
◮ A-t-il déjà participé aux Hunger Games? Ou bien, un de ses proches? Je n'y ai jamais participé. Aucun de mes proche n'y jamais participé. Une chance n'est-ce pas ? Cependant je compatis envers les familles qui ont souffert, qui ont vu leur enfant partir, destinés pour la majorité à mourir. Je ne crois pas en la fatalité mais ce jeu me met quelque foi le doute.
PSEUDO: Jey AGE: 19 ans. COMMENT AS TU CONNU LE FORUM : Bzzart of course ! QU'EN PENSES-TU ?: Magnifique design. J'aime beaucoup. DEDICACES: écrire ici.
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<taken>Harvey Newton Haydon</taken> [color=black]†[/color] James Fanty
Dernière édition par James Fanty le Dim 6 Jan - 21:44, édité 5 fois
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Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 11:50
« Papa ! Papa ! Où es-tu ? Pourquoi n’es-tu pas là ? Explique-moi, je ne comprends pas. » Le visage du petit garçon était voilé d’une tristesse, des larmes coulaient le long de ses joues roses. Ses yeux étaient rouge, rongés par les pleures incessant. Ses cheveux étaient emmêlés, le petit garçon pleurait de souffrance tel un enfant abandonné. Ce petit garçon aux mains douces et doigts fins essuyant les désastres de son malheur pleurait à l’infini. La jeunesse lui échappait, il n’avait plus d’âme pour penser. Les lugubres tristesses de cet enfant l’emportaient loin de la réalité. Ses petits yeux imbibés d’eau salée exprimaient une blessure d’enfance. Il se trouvait au milieu de nulle part, perdue dans le désert dans l’impossibilité de trouver âme vivante. Seul, il pleurait de mille chagrins. Abandonnés de tous, il se plaignait de son malheur. Assoiffée de compagnie, il ne pouvait en trouver. Ce jeune garçon illustrait la souffrance de la solitude, la souffrance de l’abandon. Quand alors une silhouette avança, au loin, dont les pas bruyant laissait une marque dans le sable brulant, l’enfant cessa les pleurs. Pris d’un souffle de bonheur, le petit gaçon s’aventura dans le parcours pour atteindre cette personne. Courant de dune en dune, il n’avait jamais cessé d’y croire. Les yeux tel des amandes, le sourire aux lèvres, pris de bonheur, il courrait si vite qu’il n’allait pas tarder à le rattraper. Cette silhouette dont le visage n’était pas défini, était immobile. Un homme, sans doute, grand, brun et âgé. Quand l’enfant aux sourire radieux arriva auprès de lui, il tenta de lui prendre la main mais in’y parvint pas. Il était à présent comme perdu, incertaine de sa vision. Il pleurait de nouveau tandis que la silhouette s’évapora en une multitude de grain de sable. Sa vision était fictive, le petit garçon était de nouveau seul, seul, seul, à jamais.
James se réveilla, de la sueur dégoulinait de son front brillant. Ce cauchemar avait recommencé à le hanter. Il pensait sans arrêt à cet homme qui figure comme son père mais dont le visage reste introuvé. Il devait le connaître, la soif du savoir la hantait jours après jours. Il ne pouvait plus résister à la tentation de le connaître. Il devait au plus vite se renseigner à son sujet auprès de sa mère. Chose qui reste aujourd’hui horriblement compliqué voir même impossible. James ne connu pas ses parents. Lorsqu'il était encore qu'un enfant, on le plaça dans une famille d'accueil.
Dans mon enfance, un soir en rentrant de son travail, ma mère m'aidait à faire mes devoirs. Pendant un certain temps, j'avais du mal à distinguer la lettre H de la lettre K. Ma mère m'expliquait avec une patience d'ange. Mais je l'écoutais à peine car je voyais monter la colère de mon père. Je connaissais la suite : Il alla chercher la balayette dans la cuisine et me tapa dessus. Après, il fallait que je lui dise la différence entre le H et le K. Bien entendu, je mélangeais tout puis j'avais le droit à une fessée supplémentaire et on m'envoyait au lit. Telle était sa manière de m'aider à faire mes devoirs. Il voulait que je sois bon élève, que je devienne "quelqu'un". Je me souviens encore aujourd'hui de certaines soirées dans leurs moindres détails. Une fois, le devoir consistait à dessiner des maisons sur le cahier de calcul : six carreaux de large et quatre de haut. J'en ai fait une et je savais parfaitement comment m'y prendre. Soudain, mon père s'assoit à coté de moi. Il me demande d'où à où doit aller la prochaine maisonnette. J'ai si peur que je ne compte plus les carreaux, je réponds au hasard. Quand je me trompe, je reçois une baffe. Bientôt, tout en larmes, je suis incapable de formuler la moindre réponse. Alors il se lèvre, se dirige vers le caoutchouc. Je sais ce que cela signifie. Il prend le bambou qui sert de tuteur au caoutchouc et me frappe les fesses jusqu'à qu'elles deviennent rouge vif. Mon père nous battait, ma mère et moi. J'étais l'objet de ses défoulements... Il ne m'aimait pas il me détestait comme moi je le haïssais. A l'époque bien sur, je ne comprenais pas ce qu'il avait, la raison de ses crises répétées. Plus tard seulement, quand, j'ai commencé à en parler un peu plus souvent avec ma mère, j'ai pressenti l'explication. Il n'était pas à la hauteur, tout simplement. Il était dévoré d'ambition, et il ratait tout. Son père le méprisait à cause de cela. Grand-père avait mis ma mère en garde dès son mariage. Il qualifiait son fils de vaurien. C'est qu'il avait nourri pour lui de grandes espérances : mon père devait restaurer la famille dans sa splendeur passé d'avant l'expropriation. Naturellement, à cette période, entre six et huit ans, tout cela m'échappait complètement. Le comportement de mon père confirmait simplement à mes yeux la règle de vie que m'enseignait la rue et l'école : battre ou être battu. Ma mère, qui a reçu sa dose de coup dans l'existence, est arrivée à la même conclusion. Elle ne cessait de me répéter "Ne commence jamais. Mais rends coup sur coup. Et tape aussi fort et aussi longtemps que tu peux." Elle, elle ne pouvait plus rendre les coups... Plus tard, j'apprit qu'ils m'avaient reçu, qu'ils n'étaient pas véritablement mes parents.
J’avais fait mes plans. J’avais organisée ma vie, tout était écrit noir sur blanc dans un calepin que je cachais sous mon oreiller. Dès que le temps me le permis, dès j’atteignis l’âge mature ou du moins celui qui t’initie au monde des adultes je fis mon sac dans l’optique de quitter cette famille et de ne plus revenir. Je voulais vivre d’aventure, je voulais parcourir les districts et découvrir le monde. Jamais je n’avais développé au cours de mon enfance de l’amour pour celui que je pensais être mon père. Je ne regrettais rien. Enfin si, seul une personne, ma mère. Cette femme qui n’a pas les mêmes gênes que moi et qui pourtant m’avait tant chérie. Elle m’avait transmit l’amour qu’un fils recherche chez sa mère. J’avais même eu le complexe d’Œdipe lors de mon enfance. Je regrettai de la quitter et encore plus de la laisser avec cet homme violent, stupide et écœurant. A mes côtés se trouvait mon petit frère qui avait lui aussi été adopté. Initialement, il ne devait pas fuir avec moi. Je lui avais interdit de me suivre et lui avait confié le rôle de protecteur, il devait être là pour notre mère, prendre soin d’elle. Puis j’avais céder, il m’avait supplié de l’accepter. J’avais dix huit ans, lui quatorze. Le ciel était sombre, les lumières étaient éteintes, je déposais sur mon oreiller un papier froissé sur lequel j’avais écrit quelques mots destinés à mes parents.
Je suis désolée. Mais je ne pouvais plus rester. Aujourd’hui c’est mon anniversaire, j’ai dix huit ans. Je vous quitte.
Derrière ce bout de papier j’avais également écrit en espérant que ma mère soit la seule destinataire.
Je reviendrai… Je t’aime.
Je n’y étais pas retourné depuis ces dernières années. Que ce soit dans dix ans, dans vingt ou plus longtemps je sais que j’y retournerai. Je partais vers l’aventure main dans la main avec mon frère. Nous nous sommes depuis ce temps jamais séparés. Lui et moi sommes contrôleurs de train, ce qui me permit de découvrir les différents districts autre que le six celui où j’ai toujours vécu.
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Dernière édition par James Fanty le Dim 6 Jan - 17:05, édité 3 fois
Haymitch Abernathy
♦ Messages : 148
♦ District : dans tes fesses.
♦ Métier : alcoolique annonyme.
♦ Statut : célibataire.
Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 12:08
bienvenue bonne chance pour ta fiche *o* si tu as des questions, n'hésite pas
Ceiirenn Everdeen
fonda ▲ i'll never be katniss.
♦ Messages : 202
♦ District : ≈ elle voyage principalement entre le douze et le capitole, mais parfois aussi les autres districts. Le tout, pour le bien de sa "mission", bien entendu.
♦ Métier : ≈ remplacer katniss everdeen
♦ Statut : ≈ libre comme l'air, bien qu'il lui arrive trop souvent de se prendre à penser à un certain garçon des pains. Sans aucun doute ne sait-elle pas encore faire la part des choses entre elle et Katniss.
Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 12:54
BIENVENUE SUR RONR Et puis, bon courage pour ta fichette! Si tu as des questions, n'hésite pas à contacter le staff
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Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 15:40
Bienvenue James!
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Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 16:29
Bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche Encore merci mille fois d'avoir choisi ce scénario (qui tue tout, faut s'le dire ) Si tu as des questions sur le personnage, la relation entre les deux, besoin d'idées ou même des questions sur autre chose surtout tu n'hésites pas. ♥
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Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 16:51
Merci pour l'accueil le people. J'ai d'éjà des questions sur le scéna' je t'envoie ça par MP. VIVE LES RPs
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Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 17:00
Bienvenue James Que la force soit avec toi pour finir cette fichette
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Sujet: Re: James Fanty Mar 1 Jan - 19:13
BIENVENUE SUR RONR Merci de ton inscription et bonne chance pour ta fiche! Je vais répéter ce qui a déjà été dit mais si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas, on se fera une joie de t'aider.
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Sujet: Re: James Fanty Mer 2 Jan - 20:24
Bienvenue sur RONR Ton avatar -the beau goss quoi- Bon courage pour ta fiche et n'hésites pas à nous contacter en cas de besoin.
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Sujet: Re: James Fanty Dim 6 Jan - 17:23
Merci pour votre chaleureux accueil les amis ! Je viens vous annoncez une nouvelle des plus festive.
J'AI TERMINEE.
enfin
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Sujet: Re: James Fanty Dim 6 Jan - 18:12
J'aime beaucoup le premier paragraphe de ton histoire. Simplement, je trouve que: enfant battu + adopté (et son frère aussi) + complexe d'Oedipe, ça fait un peu beaucoup. Je ne vois pas James comme un martyr, donc si tu pouvais adoucir un peu l'histoire, et retirer l'une des trois caractéristiques, s'il te plait. :) De plus pour les questions c'est un peu bâclé, tu me l'as toi-même dit en mp, 2-3 lignes minimum sont demandées, il faudrait rajouter simplement quelques phrases.. Enfin, (et j'arrête de t'embêter ) pour les traits de caractère/anecdotes du personnage, tu as simplement copié collé ce que j'avais écrit dans le scénario, donc il faudrait que tu ajoutes tes propres caractéristiques pour que tu t'appropries réellement le personnage. ^^
Voilà, j'ai fait beaucoup de blabla mais au final ça va te prendre cinq minutes de corriger tout ça.
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Sujet: Re: James Fanty Dim 6 Jan - 21:25
Hazel Liv a écrit:
J'aime beaucoup le premier paragraphe de ton histoire. Simplement, je trouve que: enfant battu + adopté (et son frère aussi) + complexe d'Oedipe, ça fait un peu beaucoup [...] donc si tu pouvais retirer l'une des trois caractéristiques, s'il te plait. :)
Je crois que tu as mal saisit le sens de ma phrase suivante : [quota="James Fanty"]Elle m’avait transmit l’amour qu’un fils recherche chez sa mère. J’avais même eu le complexe d’Œdipe lors de mon enfance. Je regrettai de la quitter et encore plus de la laisser[/quote] Le complexe d'oedipe est défini comme le désir inconscient d'entretenir un rapport sexuel avec le parent du sexe opposé. Selon certains, tout enfant est tiré par son parent de sexe opposé. C'est pourquoi on entend souvent les petites filles dire à leur père « Plus tard, je me marierai avec toi ». James n'est pas un enfant martyr. Du moins il n'a pas de traumatisme d'enfance et est loin d'être le garçon a ruminer dans la souffrance... Il est plutôt plein de vie malgré la flemmardise et savoure ses instants sur terre. Peut-être ai-je été trop raide dans mon style d'écriture qui a rendu le tout assez sinistre. Peu importe : je supprime la phrase sur le complexe d'Oedipe.
Hazel Liv a écrit:
pour les traits de caractère/anecdotes du personnage, tu as simplement copié collé ce que j'avais écrit dans le scénario, donc il faudrait que tu ajoutes tes propres caractéristiques pour que tu t'appropries réellement le personnage. ^^
La gourde ! Je n'ai aucune excuse , j'aurai du me relire. Effectivement j'ai oubliée de modifier et d'ajouter ces caractéristiques. Qu'on me châtie !
Bon et bien je me remanifesterai dans quelques instant.
EDITE :Modification faite.
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Sujet: Re: James Fanty Dim 6 Jan - 22:43
Je sais ce qu'est le complexe d'Oedipe. Seulement je trouvais ça un peu trop accentué. :) Et puis le fait que son père l'ait battu, je pense pas qu'il l'ait bien vécu. Normal.
Bref ta fiche est maintenant parfaite, je te valide. N'oublie pas d'aller recenser tes points ici et surtout bon jeu parmi nous!
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Sujet: Re: James Fanty
James Fanty
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